Sud-Kivu : les femmes de l’AFC-M 23 du Sud-Kivu et Nord-Kivu clôturent la 34è edition de la campagne » 16 jours d’activisme contre les violences basées sur les genres « .
Stop aux violences numériques.
16 jours d’action et de lutte pour sensibiliser, mobiliser
pour poursuivre le combat contre les viols et violences numériques
à l’égard des femmes, jeunes et petites filles.
« Pour un numérique sans violence, protégeons les femmes,
bâtissons un espace sûr. Unissons-nous pour mettre fin à la violence numérique
contre toutes les femmes et les jeunes filles. »
C’est sous ce thème que les femmes du mouvement révolutionnaire
AFC M23 du Nord et Sud Kivu ont clôturé la 34e édition de la campagne « 16 jours d’activisme contre les violences basées sur les genres » en 2025 à Bukavu, dans la salle Auditorium de la Femme.
Dans son allocution, le gouverneur Patrick Busu Bwa Ngwi a appelé les femmes à briser le silences, à lutter tête haute et garder espoir en une justice révolutionnaire en dénonçant les acteurs des violences.
Plusieurs intervenants ont éclairé la lanterne des participants sur les formes des actions posées,
même par ignorance mais qui constituent des violences numériques: la photographie, les vidéos prises sans accord et leurs publications en sont les exemples vivants.
Pour les femmes du mouvement révolutionnaire AFC-M23, cette activité a comme objectif de mettre la femme au centre de toute action et la promouvoir, une meilleure façon de lui donner la force de lutter contre la cybercriminalité et d’assainir le numérique.
Au cours des échanges et débats, un accent particulier a été mis sur l’auto-sécurisation, la sécurité des outils numériques utilisés au quotidien et surtout limiter les contacts peu fiables.
Les femmes de tous les horizons ont répondu présents à l’appel du Gouverneur Patrick Busu Bwa Ngwi pour cette activité clôturée avec solennité en ces motsl: – aucune femme ne devrait plus être menacée par le numérique, aucune jeune fille ne devrait faire l’objet d’abus et de violences, ni être filmée sans accord.
Aucune femme ne devrait faire l’objet d’abus et de violences, ni être filmée en situation désagréable. »