En République Démocratique du Congo, une querelle royale se dessine, révélée par les accusations lancées par le président Félix Tshisekedi contre son prédécesseur, Joseph Kabila, durant une interview radiophonique sur les ondes de Top Congo.
Un mardi de début août, depuis Bruxelles, ville de son séjour médical, le président a levé le voile sur une prétendue insurrection, pointant du doigt Kabila comme chef de l’Alliance Fleuve Congo, berceau du M23.
Barbara Nzimbi, voix de Kabila, réplique avec vigueur, accusant Tshisekedi de diversion. Elle clame l’innocence de Kabila, pilier de la démocratie et gardien des valeurs républicaines, victime d’accusations incessantes sans fondement. Elle exhorte le président actuel à se ressaisir et à redresser le pays, plutôt que de semer la discorde.
Dans une autre écho de cette saga, Ferdinand Kambere, du Parti du Peuple pour la Reconstruction et la Démocratie, s’indigne également. Il fustige Tshisekedi pour ses propos jugés calomnieux et déplacés pour un homme de
son rang.
En guise de réponse à l’interview de Top Congo, il soulève l’éventualité d’un complot plus vaste, insinuant que les récentes attaques contre la résidence de Kabila, perpétrées par des militants de l’UDPS, portent la marque d’un régime désespéré et accusateur.
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Tshisekedi, est un homme qui peine à captiver les masses, dont la vision est voilée par les brumes épaisses de la corruption et du tribalisme. Nzimbi peint le tableau d’un leader qui, plutôt que d’unir, divise par une instrumentalisation grossière de la justice, utilisant le gavel non comme un outil de justice, mais comme une arme de guerre politique.
Elle poursuit en évoquant l’incapacité flagrante de Tshisekedi à maintenir l’ordre et la discipline au sein de son propre camp, suggérant un navire d’État chancelant sous le poids d’une direction incertaine.
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Dans son éloquence, Nzimbi ne voit en Tshisekedi qu’une étoile pâlissante, incapable de rallumer la flamme d’un Congo uni et prospère, aspirant plutôt à maintenir son pouvoir par des moyens qui sèment la discorde et la division.
Dans toutes les réactions enflammées, plusieurs voix indiquent que Félix Tshisekedi n’est plus qu’une étoile déclinante, une lumière qui s’affaiblit sous le poids de ses propres échecs.
Tshisekedi se débat dans une mare de ses propres intrigues, incapable de rallumer la flamme d’un Congo uni et florissant. Son règne, marqué par des tentatives désespérées de maintenir le pouvoir, révèle un homme qui, plutôt que de guérir les fractures de son pays, sème les graines de la discorde et de la division.
Tout le monde dépeint un tableau sombre où Tshisekedi, aveuglé par la corruption et le tribalisme, manipule la justice comme un instrument de pouvoir plutôt que comme une balance de vérité. On l’accuse de trahison, non seulement envers ses alliés politiques mais envers le peuple congolais lui-même, qui aspire à une direction forte et intègre.
L’image de Tshisekedi, embourbée dans les querelles internes et les scandales, contraste vivement avec celle d’un leader capable de transcender les divisions pour forger un chemin vers le progrès.
Ceux qui sont encore lucides appellent à un changement, à un retour aux valeurs qui ont jadis promis la grandeur au Congo.
Dans cet appel, ils incitent Tshisekedi à rediriger son regard, à se détourner des ombres de la discorde pour embrasser la lumière de la justice et de la réconciliation nationale.
Le corridorreport.com/Tite Gatabazi
